Après avoir laissé derrière la France, nous avons vogué
entre la Suisse et l’Allemagne en remontant le Rhin jusqu’au lac Constance.La
chaleur sera de plus en plus présente lors de cette partie de notre voyage.
Traversée de Bâle
Le voyage offre parfois des rencontres surprenantes. Parti
de la pointe du Raz, pour atteindre Venise, Bernard marche seul pour fêter son
70ème anniversaire de mariage avec sa vie.
Rencontre avec Bernard
Le Rhin est le fil conducteur de notre périple entre Bâle
et le lac de Constance, nous passons à plusieurs reprises d’un pays à l’autre
suivant notre humeur.
Le plus ancien pont en bois d’Europe relie, la Suisse et
l’Allemagne, à Bad Säckingen.
Pont de Bad Säckingen
Les villages caractéristiques de cette région se succèdent tout au long du Rhin.
Village de Laufenburg
Place principale de Stein am Rhein aux maisons aux façades typiques
Le Rhin, sortant de sa torpeur, nous réserve quelques
surprises.
Chute du Rhin, à Schaffhausen
Le voyage nous rapproche des peuples mais il nous éloigne
de notre famille.
Nous pensons à Alain, qui est parti pour un autre voyage.
Super les gars ! dites moi vous avez déjà dû passer de belles grimpettes. J'imagine d'ici les beaux mollets ! Quel beau french-cancan vous allez nous faire pour nos 20 ans.
RépondreSupprimerBiz. Pascal et Nathalie
Merci pour ce beau fondu enchainé qui nous fait effleurer les courbes ondulantes du Rhin entre de belles citées médiévales à colombages, dominées par les clochers pointus de ses cloîtres. Félicitation aussi pour les jeux de mots un peu chauds mais parfaitement explicites : La chute de Rhin de Schaffhousse, le trou de Bâle à Constance... Cela manque de finesse mais c'est une bonne chose que la bonne humeur puisse apporter du réconfort aux vaillants pédaleurs dans ces contrées aussi lointaines et sauvages.
RépondreSupprimerA noter que Stein Am Rhein est réputé pour sa fabrique de sous vêtements (Schiesser) et par son illustre designer Willy Guhl pionnier du Design industriel Suisse et reconnu pour sa chaise « ruban » et le tabouret Guhl sur lequel il est possible de s'assoir.
Continuer chers frères à nous émerveiller avec vos belles photos et vos rencontres. Une seule critique cependant - pour l'amateur gastronomique que je suis - je trouve que le compte rendu photographique ne rend pas justice à la diversité culinaire de la région. Quid des fromages à trous, des étalages de charcuteries vaudoises, des « Spinattötschli » la fameuse tourte aux carotte, des paniers de saumon sur les quais du Rhin, et du Basler Brunsli un biscuit au chocolat qui ferait fondre le plus téméraire des envahisseurs...
Est-ce possible, dans votre prochain compte rendu, de nous en servir une petite palette photographique ?
Sergio